Premier festival, deuxième soirée. Deux sets. Un quintet, un quartet. Un décor majestueux de vieilles pierres et de feuillages qui donnent à cette manifestation une ambiance que l’on ressent tout de suite, un son que l’on apprécie, une douceur qui vous enveloppe. Jazz à Peillon prend ses marques. Marc Peillon aurait apprécié !