Magnifique ! Tel est l’adjectif qui me vient à l’esprit à l’écoute de ce nouvel album de Baptiste Herbin. Le jeune prodige du saxophone alto signe ici son troisième opus et c’est une complète réussite.
Entouré d’une rythmique de rêve (Darryl Hall à la contrebasse et Ali Jackson à la batterie, et le jeune pianiste carioca Eduardo Faria) il nous offre un voyage entre New York, Paris et Rio, entre Bop et musique brésilienne ; avec sa sonorité magique, son époustouflante virtuosité, sa chaleur mélodique. Écoutons parler de lui quelqu’un qui s’y connait : « Baptiste, il a tout. C’est dingue, tout ! Le son, le phrasé, la musicalité, le groove… C’est un phénomène » André Ceccarelli. Tout est bon, voire grand, mais j’ai une petite préférence pour le standard « Poor Butterly » et le choro « Um a Zero ».
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