#Chronique : Sarah Lancman “Parisienne”

Après son interlude italien “Intermezzo” en compagnie de Giovanni Mirabassi,  disque dont vous avions déjà dit tout le bien que nous en pensions, Sarah Lancman revient à ses racines parisiennes comme le titre l’indique avec ce bel album bilingue français/anglais, composé uniquement de titres originaux, à l’exception d’une reprise dEdith Piaf, l’immortel “Hymne à l’amour” et d’une autre de Charles Aznavour “Parce que”.

La voix de Sarah est toujours aussi touchante, d’une justesse sans défauts, et remplie d’émotions. Les autres titres offrent une belle palette sonore, un jazz à la fois intimiste et swinguant, d’un goût très sur, riche et convaincant. Cette hommage à sa ville natale est soutenu par de grands musiciens qui font partie de la fine fleur du jazz hexagonal. Il y a là Pierrick Pedron, saxophone alto, Marc Berthoumieux à l’accordéon, le comparse de toujours Giovanni Mirabassi au piano, Laurent Vernerey à la contrebasse et Stéphane Huchard à la batterie.Un disque à savourer dans ses moindres détails, qui donne envie d’aller flâner le long de la Seine, porté par sa tranquille majesté.

https://www.sarahlancman.com

Ecrit par Gilbert D'Alto

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