Le Jazzophone perd l’une de ses plus belles voix. Françoise Miran s’est éteinte après une vie riche de musique, de mots et de combats pour la culture. Collaboratrice précieuse de notre journal, elle a signé de nombreux articles, toujours empreints d’intelligence, de curiosité et d’une profonde humanité. Femme de lettres, musicienne, programmatrice, elle avait le don rare de relier les gens, les sons, les idées. Suite →