Et si le renouveau du Jazz passait par Londres ? La question aurait pu paraitre saugrenue il y a encore quelques semaines. Londresest associé au rock ou à la pop, moins au Jazz. Et pourtant, une nouvelle scène en pleine effervescence s’installe et pourrait se propager d’ici peu au reste du monde. Suite →
Ami(ie) lecteur(trice) du Jazzophone, je perçois à nouveau ton regard dubitatif à la lecture du titre de cette chronique. Tu te demandes à nouveau en quoi je vais t’être utile. Tu as vraiment la mémoire courte. Nous avons déjà évoqué ce sujet lors de la dernière publication. J’ai parfois l’impression d’être Bill Murray dans « Un jour sans fin ».
Quand on parle de jazz et tout précisément de jazz fusion chez nos voisins Belges, indéniablement le groupe culte Placebo de Marc Moulin fait référence en la matière. Mais, Marc Moulinet son album “Sam’ Suffy” auquel un article lui fut consacré dans cette même rubrique (Le Jazzophone #8) ne fut pas le seul.
Le père Jérôme Ledoux adresse au diocèse l’hymne de ralliement que les rebelles swinguent : “Shake the devil off”. Dans le coeur du Tremé, l’église Ste Augustine dresse son modeste clocher de bois blanc au-dessus du plus ancien quartier noir des États-Unis.
C’était un line-up de folie qui était réuni sur la scène magnifique du Théâtre de Verdure à Ramatuelle pour ce concert “File under Zawinul”, en hommage au génial pianiste autrichien Joe Zawinul, pianiste de (entre autres) Cannonball Adderley,Miles Davis et co-fondateur de Weather Report) et à son Syndicate.
Aretha Franklinqui, vient de nous quitter à l’âge de 76 ans des suites d’un cancer du pancréas restera pour l’éternité l’une des plus grandes chanteuses de l’histoire de la musiqueafro-américaine, et même au delà des frontières de celle-ci. En 1968, Aretha Franklin fut classée en seconde position des personnalités afro-américaines les plus connues au monde, juste derrière Martin Luther King.
Pour le dernier jour du Nice Jazz Festival, nous avons choisi de nous concentrer sur la partie la plus purement “jazz” du programme et c’est donc au Théâtre de Verdure que nous avons passé l’essentiel de la soirée. Suite →
Samedi 21 juillet, dernier soir de cette 70ème édition du Nice Jazz Festival, nous retrouvons un habitué du festival, Eric Legnini, avec son nouveau projet, Tribute to Les Mccann et comme invité Ali Jackson. Ce quintet ouvre la soirée avec un jazz très classique. Ils reprendront bien évidemment le standard “Compared to What”. C’est le contrebassiste, Geraud Portal, qui va permettre, avec une Walking bass très efficace, de donner un tempo assez rapide et qui fera, je trouve, le charme de cette première partie.
Lors de cette soirée du vendredi 20 juillet, c’est Jef Roques Quartet, le vainqueur du Tremplin Off de l’an dernier qui a ouvert au Théâtre de Verdure. Guitariste talentueux, il joue ses compositions personnelles ainsi que celles de son pianiste comme “Misty Blues”. La soirée commence par du jazz, blues, dont la dextérité est de mise pour le guitariste.
Ce n’est jamais facile de remplacer au pied levé un artiste, surtout lorsque ce dernier décède une dizaine de jours avant. C’est encore plus compliqué de mélanger deux sets très différents en une session unique. Mais impossible ne semble pas Pellissier.