#Presse : On parle du Jazzophone

Afin de pouvoir transmettre leur passion et promouvoir le Jazz le plus largement possible, les membres d’Imago records & production sont à l’initiative d’un journal gratuit sur le Jazz : Le Jazzophone.

Il y a maintenant presque trois ans (le 19 décembre 2014 exactement) naissait le tout premier numéro du journal local du jazz : Le Jazzophone. Mieux faire découvrir l’étendue et la variété de cette musique captivante et pourtant mal connue qu’est le Jazz, est ce qui a amené plusieurs professionnels et autres amoureux du Jazz à se réunir et à donner vie à ce journal. A l’image de cette musique métisse qui mélange différentes cultures, Le Jazzophone rassemble des passionnés, qui chacun à leur façon, apportent un regard sur le Jazz et ses multiples facettes… L’équipe de rédaction, constituée de journalistes spécialisés mais aussi de passionnés, édite chaque trimestre un journal gratuit entièrement consacré au Jazz et à ses multiples développements. Au cours de ces trois années, le lecteur a pu ainsi découvrir des portraits de grands musiciens issus de la région (Chassagnite, Belmondo, Yoann Serra etc.) ainsi que les rapports parfois insoupçonnés que le jazz entretient avec d’autres formes d’art comme le cinéma, la poésie, la littérature, la peinture, ou même la cuisine. Le Jazzophone rappelle aussi l’histoire de cette musique et son passé glorieux à travers des portraits de ses grandes figures (Charlie Parker, Nancy Wilson, Miles Davis…) tout en se consacrant évidemment à l’actualité du jazz dans la région.  Le site internet du journal propose également un agenda  des concerts mis à jour quotidiennement, ainsi que des liens vidéos et audios pour découvrir les artistes mis en avant dans le journal. Le Jazzophone est diffusé sur tous les lieux où le jazz et la culture se vivent (festivals, salles de concerts ou de théâtre, clubs, cafés, médiathèques…). Il est d’ailleurs l’un des rares magazines de jazz à pouvoir s’enorgueillir de compter parmi ses collaborateurs plusieurs musiciens professionnels (les chanteuses Denia Ridley et Yaël Angel, les bassistes Jean-Christophe Bournine et Claudio Citarella, le saxophoniste Sébastien Chaumont), tous tenant des rubriques régulières ou occasionnelles. En bref, une aventure qui dure depuis 3 ans et qui a l’ambition de refléter le présent et l’avenir d’une musique plus que jamais vivante.

Ça fait jaser… David Benaroche, corédacteur en chef du « Jazzophone » 

« Le jazz est intemporel »

Le Jazzophone, c’est quoi ? Un journal gratuit, trimestriel et régional qui parle du jazz et des musiques cousines. Il y a une vingtaine d’intervenants : une base de journalistes comme Gilbert d’Alto, le monsieur jazz de la Strada, des musiciens, comme Merakhaazan [présent lors de l’interview, ndlr], des bénévoles de l’association Imago records & production qui accompagne et produit des musiciens depuis vingt ans. On essaye de donner envie aux gens de s’intéresser au jazz. C’est ce qui nous a inspiré la création du journal. Le premier numéro est paru en 2014 [« Déjà ? », s’étonne Merakhaazan). Ou peut-on le trouver ? Sur Internet, à la Fnac, à la médiathèque ou à l’office de tourisme. Et dans des lieux ou l’on joue du jazz : La Cave Romagnan, le Shapko et, bien sur, le Nice Jazz Festival.

Le jour le plus long

Un nouveau confrère ce soir dans la pinède. Son nom : Le Jazzophone | C’est brillant, les signatures sont brillantes (l’ami lean-Pierre Lamouroux, Gilbert d’Alto etc.). Vraiment, découvrez-le, aimez- le car Il le mérite, en ces années culturelles quelque peu climatériques. Mais y a kelchose qui nous chicote, au P’tit Journal, quand nous lisons : « En 1948, le premier festival de jazz français a lieu à Nice », puis « A tout seigneur, tout honneur, ouvrons le chapitre avec le Nice Jazz Festival, ancêtre de tous les festivals azuréens ». Sauf que, votre honneur, un festival est, par définition, une manifestation à caractère festif, organisée à époque fixe et récurrente (annuellement, le plus souvent) et d’une durée de plusieurs Jours. Et c’est là que le bât blesse. Un jour en 1948 (le 25 février), plus rien Jusqu’en 1971 ? Le Jour le plus long sans doute, ce qu’on appelle un concert d’ailleurs, mais le plus veux festival ? Le Petit Journal doute. Tout cela en toute amitié car, répétons-le, le canard vaut la peine et que nous ne voulons pas bitcher sur le dos des autres, ni chercher quelque rogne que ce soit.

Ecrit par Imago records & production

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