C’est à Golfe-juan-Vallauris, plus précisément au Théâtre de la Mer, également connu sous le nom de ThéâtreJean Marais, que l’équipe du Jazzophone a pu assister au concert du fabuleux groupe de Jazz fusionTROC, créé par le batteur André Ceccarellien 1973, et qui renaquit de ses cendres près de 40 ans plus tard en 2011. Aux côtés de Dédé, le chanteur de la formation d’origine Alex Ligertwood, le pianiste Julien Mazariello, le bassiste Laurent Vernerey qui remplaçait Jannick Top, souffrant, et enfin le guitariste niçois Amaury Filliard.
Après les très beaux “La belle chose” et “Les Racines du ciel”, aux influences latines et françaises, l’accordéoniste Frédéric Viales’offre cette parenthèse pour nous rappeler qu‘il est aussi un jazzman, et qu’il est passionné par cette musique. Suite →
Lorsque Franck m’a proposé d’écrire quelques lignes sur un de mes plus beaux souvenirs du Nice Jazz Festival, une certaine tendance à la facilité et la paresse, doublée d’une mémoire de poisson rouge, m’ont incité à scruter l’année 2017. La prestation mystique du prophète Kamasi Washington étant déjà abordée par une autre camarade, j’ai dû me résoudre à l’impossible : parcourir le passé glorieux du Nice Jazz Festival à la recherche de ma madeleine de Proust.
Juillet 1979 Jazz à Juan, mon 1er concert de Jazz et la claque musicale de ma vie: Weather Reportavec Jaco Pastorius. Près de 40 ans après, j’y pense presque tous les jours. Bien sûr ce soir-là c’est Jaco Pastorius qui m’a bouleversé, dans mon souvenir «Bruce Lee à la basse » ! Mais il y avait aussi ce gars aux claviers avec ses climats nouveaux pour moi : Joe Zawinul. À la fin du concert, j’étais devenu un fan inconditionnel. Suite →
Le 16 juillet 1986, je me rendais, accompagné de ma compagne d’alors, à la Grande Parade du jazzme préparant à une grande soirée au vu de l’alléchant programme présenté ce soir-là.
Marcia Maria qui nous a quitté le 27 juillet 2018 était une grande chanteuse de jazz, née à Rio de Janeiro, au Brésil. C’était également une spécialiste de la bossa nova, qu’elle pratiquait avec ferveur et passion. Suite →
Voilà l’été comme le chantaient les Négresses Vertes, et avec lui, un tout nouveau Jazzophone, qui vous allez le constater continue d’évoluer, pour le meilleur nous l’espérons, afin de vous proposer un magazine toujours plus complet, toujours différent tout en gardant la même ligne directrice : soutenir le jazz et les musiques qui lui sont apparentées. Suite →
A 19h30, Baptiste Trotignon et Yosvani Terry entament la soirée du 19 juillet au Théâtre de Verdure. Ils commencent même une petite dizaine de minutes avant l’heure prévue. Leur jazz est agrémenté d’une touche de tradition caribéenne. C’est d’ailleurs le but de ce projet, “Ancestral Memories “. Baptiste Trotignon, au piano, et Yosvani Terry, au saxophone, forment un contraste entre le moderne et le old-school du jazz.
C’est dans une Pinède Gould bondée que Bireli Lagrène fit son entrée ce jeudi 19 juillet, une basse électrique à la main. Le guitariste virtuose avait choisi ce soir là de présenter le projet conçu avec Benoit Sourisse et André Charlier pour rendre hommage à l’ami disparu, le légendaire bassiste Jaco Pastorius, “l’homme qui a révolutionné la basse comme Hendrix avait révolutionné la guitare” selon un critique américain.
Le temps affichait le beau fixe, et l’équipe du Jazzophone au (presque) grand complet investit le Théâtre de Verdure et la Scène Masséna pour ce deuxième jour du Nice Jazz Festival, qui présente ce soir là une affiche alléchante. Suite →